Crash en Egypte : les avancées de l’enquête
Quelle triste nouvelle… Aucun survivant ! Même les petits enfants innocents ont perdu leur vie dans le crash de l’avion russe Metrojet en Egypte, plus précisément dans le désert de Sinaï, le 31 octobre dernier. Mais quelles sont exactement les causes de cet accident tragique qui fait perdre autant de vies en quelques secondes ?
Les causes sont encore floues
Comme source, l’avion a été fabriqué vers 1997 et c’était vers l’année 2012 qu’il a commencé à circuler dans le grand horizon égyptien. C’est la compagnie aérienne russe Kogalymavia qui prend en charge l’activité de cet appareil. L’équipage était au nombre de 7, à savoir les pilotes et leurs co-équipiers à bord et ils transportaient 217 passagers. Malheureusement, l’avion s’écrasait dans le grand territoire dénudé égyptien et a provoqué la mort de ses 224 voyageurs en un clin d’œil. Quelle tragédie ! C’est vraiment une véritable catastrophe pour les familles russes.
La perte de proches, de voisins, de parents, de spécialistes de tous genres et d’étudiants à bord de ce grand oiseau de fer Airbus A321 est impensable. Ce vol 7K-9268 a décollé vers 3h45 de l’aéroport de Charm el-Cheikh en Egypte pour rejoindre Saint-Pétersbourg en Russie. C’était vers 4h20 que l’avion a disparu des radars. Pendant ces 40 minutes de vol, suite à des renseignements, on entend dire que les pilotes effectuaient une demande d’atterrissage avant de s’écraser ; mais en indiquant qu’il n’y avait pas de problème technique à bord. C’est presque des dires contradictoires, des gestes étonnantes surtout que, d’après les informations obtenues, l’avion était mis en pilotage automatique après 23mn 14s de décollage.
Trouver l’origine de l’explosion, l’enquête continue
Même si les corps sans vie des 224 passagers sont tous retrouvés et conduits à la morgue du Caire, l’enquête sera encore longue. Ce n’est ni en un peu de temps ni avec des simples actions de recherche qu’on arrive à savoir et à confirmer les causes de cette mésaventure mortelle. Le travail sur la recherche des preuves mentionnant les vraies sources de l’accident se poursuit avec l’étroite collaboration des experts égyptiens, des équipes spéciales russes et des membres du groupe du Bureau d’enquêtes et d’analyses pour la sécurité de l’aviation civile de France BEA et les Allemands. Malheureusement, les informations à exploiter sont si minimes.
En outre, il y a des lourdes confusions avec les affaires égyptiennes. Mais on arrive à connaître, d’après les analyses, que les passagers installés dans l’arrière de cet appareil présentaient des brûlures de plus de 90 degrés. Ce résultat mène à penser qu’il y a eu, certainement, une explosion même si on n’a pas encore repéré visuellement des débris de matériels explosifs dans le désert. L’éparpillement des débris de l’avion s’étend sur 13 kilomètres de long, donc, c’est encore une autre tâche à réaliser. De plus, l’analyse effectuée avec les contenues des boîtes noires ne conduit à aucune conclusion jusqu’à maintenant. L’enquête est encore en cours dans la capitale égyptienne.